En mai 2025, la situation d’Ava21 – connue également sous le pseudo Petitabricot – semblait totalement hors de contrôle. Plus de soixante-dix liens actifs diffusaient ses contenus, dont certains indexés par Google Images. Ses vidéos et photos circulaient librement sur des plateformes classées parmi les plus résistantes du paysage pirate. Chaque jour, de nouveaux miroirs apparaissaient et le problème prenait de l’ampleur.
Nos premières actions ont consisté à établir une cartographie complète des liens et à enclencher des notifications DMCA ciblées. Des contacts directs ont été envoyés aux hébergeurs les plus accessibles, ce qui a permis d’obtenir rapidement les premières suppressions sur Gofile, Nudostar, Nudogram et Faponic. Ces retraits initiaux ont marqué le début d’un long travail de stabilisation.
La suite a exigé une stratégie d’escalade. Certaines plateformes dites “résistantes” comme Leakimedia, Bunkr ou encore Wildskirts ont nécessité des démarches juridiques plus poussées. Nous avons sollicité à la fois les registrars et les hébergeurs – Internet.bs, AlexHost, OVH, Cloudflare – avec des mises en demeure précises et documentées. Chaque absence de réponse a conduit à une nouvelle vague de pressions, notamment par le biais de contacts WHOIS et de signalements techniques aux intermédiaires.
En parallèle, nous avons lancé un travail de désindexation sur Google Images. Les clichés associés au pseudo ont progressivement disparu, limitant la visibilité des fuites encore actives. Au fil des semaines, de nombreux sites secondaires comme Fapello, Leakomax, TheFappeningbook, Rentry et Share-Nude ont également cédé sous la pression et supprimé le contenu.
Après trois mois d’opérations continues, le basculement est net. Plus de 75 % des liens identifiés ont été supprimés ou neutralisés. L’index Google est nettoyé des images principales et les sites majeurs comme Nudostar, Faponic, Leakomax, Fapello et Gofile ne présentent plus aucune trace exploitable. Les seuls restes sont concentrés sur quelques plateformes de second plan, toujours sous surveillance active, notamment Leakimedia et Bunkr.
Ce dossier illustre la différence fondamentale entre Content Removal Desk et les autres acteurs du marché. Là où un freelance ou un service improvisé se limite à quelques DMCA standardisés, nous maintenons une pression systématique, légale et traçable. Chaque lien est suivi jusqu’à suppression ou escalade, chaque contact archivé, chaque étape documentée.
Aujourd’hui, Ava21 n’est plus cernée par un océan incontrôlable de pages illégales. Sa situation est stabilisée, son exposition réduite, et son image progressivement rétablie. Contrairement aux services qui s’arrêtent au premier refus, Content Removal Desk agit avec méthode et persistance. Nous ne promettons pas des miracles : nous les produisons, avec rigueur et preuves à l’appui.