BornToBeFuck & 60 autres sites mis à l’arrêt

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ON A FAIT TOMBER BORNOTOBEFUCK

Lorsque LisaAmelK94 nous a contactés en mai 2025, sa situation semblait hors de contrôle. Plus de 70 liens étaient déjà actifs, certains indexés par Google, et une partie de ses contenus circulait sur des sites classés parmi les plus résistants du paysage pirate. Au centre de cette fuite massive, un nom revenait avec insistance : borntobefuck.com.

Dans l’esprit de la communauté, ce site était réputé intouchable, hors d’atteinte des procédures habituelles.



Nos premières démarches classiques – notifications DMCA, contacts directs – n’ont rencontré que le silence. Là où d’autres agences s’arrêtent, Content Removal Desk a enclenché une mécanique différente : l’escalade. Nous avons construit un dossier juridique complet démontrant les manquements du registrar responsable et l’avons porté directement devant ICANN Contractual Compliance.


Pendant que cette procédure suivait son cours, nos équipes ont continué à frapper sur plusieurs fronts. Chaque lien a été cartographié, priorisé selon son impact SEO et la toxicité de la plateforme. Certains hébergeurs ont coopéré après une seule mise en demeure. D’autres ont nécessité des pressions supplémentaires : contact direct aux administrateurs via WHOIS, remontées aux fournisseurs d’infrastructure, signalements techniques aux intermédiaires. Le travail était minutieux, souvent répétitif, mais toujours traçable.


En dix-neuf jours seulement, plus de 87 % des liens recensés ont été neutralisés. Et surtout, le 7 août 2025, ICANN confirmait la suspension du domaine borntobefuck.com par son registrar. Le site n’a pu revenir en ligne qu’après avoir retiré l’intégralité des contenus liés à notre cliente.

Un symbole fort : pour se maintenir actif, même un acteur aussi réputé “intouchable” a dû céder face à notre action.



Ce dossier est un exemple clair de la différence entre CRD et les autres acteurs du marché. Là où beaucoup se contentent d’envoyer des DMCA standardisés et d’espérer un retrait, nous combinons stratégie juridique, persistance opérationnelle et connaissance fine des circuits d’escalade. L’efficacité n’est pas qu’une question de rapidité, c’est une question de système : savoir jusqu’où pousser, qui alerter, quel levier utiliser, et quand.


Aujourd’hui, Lisa ne fait plus face à un océan de pages illégales. Ses principaux points d’exposition ont été neutralisés, une veille active continue de scanner son pseudo chaque semaine, et toute nouvelle fuite reçoit une réponse sous vingt-quatre heures. Là où elle envisageait d’abandonner sa carrière, elle a retrouvé une stabilité numérique.Ce dossier démontre une réalité simple : l’impossible peut être accompli, à condition d’avoir les bons leviers et la bonne méthode. Contrairement aux services improvisés ou aux freelances qui s’arrêtent au premier refus, Content Removal Desk agit de manière structurée, légale et documentée, jusqu’au bout du processus. Nous ne promettons pas des miracles, nous les produisons avec méthode.


Notre engagement reste le même pour chaque cliente : des prix justes, des actions traçables, et des résultats concrets. Les sites tombent, les liens disparaissent, et nos créatrices retrouvent la maîtrise de leur image. Nous ne travaillons pas seulement pour nos clientes, nous travaillons avec elles et pour elles, dans la durée.



Prête à savoir si ton contenu est leaké ?

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